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Le salon de lecture

Le salon de lecture

Annexe lounge du Café du globe Pascal Coquet Textes, fictions, desiderata...et autres billevesées


Tok, l’antique scout toqué

Publié par le Moujo sur 25 Janvier 2018, 17:59pm

Catégories : #Desiderata

(A lire au tempo 180)

C’est ici près des cactus, dans sa cahute, sa bicoque au Potomac, qu’y matte la starac avec son pote. Il a les crocs : sa clape ? Haddock et krill en stock. Pas cradoque ! Il en croque. Cric, crac, croc. C’est sa r’cette, son secret. L’acabit accablant le voici : ce carassin coriace caparaçonné : C’est couci-couça l’espèce adéquate, l’espace a des couettes.

Quand tout à coup… Un six coups, ce coup-ci. C’est l’attaque, l’assaut, le clash de la racaille, la canaille, la fripouille, l’arsouille. Ce scout stoïque fait face, lance défi… Le maque efface, efficace, et ça fait feu, face à face… Fracassant fracas, Racatac, racatac, ratatac, racatac…. Claquent les impacts. Y’a d’la casse. Quel micmac !

«Alors l’antique, tu craques ce coup-ci ?» Du coup, Tok est patraque. Patatrac. Un cri l’intox, comme un couac. L’ancêtre s’écroule, claqué, caduque, c’est pas du toc ! C’est pas mascarade, bas les masques. Pathétique. Déclassé, à cran, il est cuit, qui l’eut cru ? Dans la rate, sul’flanc, souffrant, cœur soufflant, détraqué. Touché, coulé, ça couine, couic et colis fichu. Y sue du sang. Ca se sent. Insensé. C’est cassé. Salissure et c’est l’issue... Occis. A pus. Occiput.

Et hop ! Au lac le patraque. Change de cap. Lof pour lof ! Flic, flac, floc ! Quel pataquès ! C’est pas chic, choquant. 

Les cloches en chocolat, c’est Pâques en toc ! « Pas qu’en toc, y’a qu’à troquer ! » Et toc ! Du tac au tac, qui dit, le toqué psychopathe, du coup plus si patraque ! V’là qui cause ! « Qui qu’en veut ? Quoi qui veut ? C’est pour qui ? Pas du toc ! » C’est sensé. Pas si con. Quoi qu’il est, l’est pus cassé, l’attaqué corrodé.

Corps caduque, l’antique erre, claudiquant, chassant ses vices, saquant ses vis, savant sévisse. Cherche une broque : Avise l’avis. Ou s’est-y ? Enquête, traque. Trouve une branque : Obscure gueuse alambiquée trinque une Lambic à sa santé ! Cul sec.  Bourrée d’tics, la care en vrac, pas si lucide. Sens dessus dessous, l’est saoule la sangsue. Cintrée. Bec en vrac. A’s’déloque, ôte sa cotte… Quelle défroque ! Qu’est-ce qui t’excite ? C’est la salsa… Lucifer. Laisses-y faire… Faut pas s’y fier, faut pacifier. 

Y’a qu’a la mater la calamité. Faut trinquer entre toqués ! Ca t’coupe la chique ? Coupe acquittée. Tchac ! Et y a pas qu’çà. Faut qu’çà cause, çà vocifère, féconde cancanière. Vas-tu cesser ? Piètre étrusque étriquée, apothicaire à peau tiquée, cuir à piquer.

L’antique occupant l’hottentote, au cul pend l’antique : honte à Tok…  Quoi, qu’est-ce, coquin, cent copecks à la caisse ? Ca décroche l’cocotier, ça crie pas ? Sacripant, cocorico sec ?

T’occupe, on s’casse, ça craint faquin. Faut quitter l’coin, qu’on s’évacue, qu’on s’carapate. Coupe court. Capte le canasson, à cru, et trace la strasse, cesse le stress, stoppe le cantique, faut qu’on presse. Prends tes clics et tes clacs. Courre cocher ! Cataclop, cataclop ! Ce cycliste scout acyclique suit sur son cycle.

Impec, correct, tact, classe. Sur le tarmac, c’est l’assaut du paquet, fait pas l’ ballot. C’est à qui ce sac ? Sot. C’est ici, c’est ainsi, si, si, pour l’grand saut hélas haut. T’entends-t’y? Big foot, tu y es ti ? « Croo… » Alors t’acquiesce ? Qu’est-ce t’as ta ? T’es pas cap ? Cours, risque, faut qu’t’essaies. C’est là qu’t-ose. Couard. « Craaoummpff »

Car ce Tok-ci craint pas l’tocsin. Sans soucis. A pas l’trac, l’est pas plouc. Sa carcasse c'est pas du stuc. « C’est clair ? », crie Toc à l’accueil ? 

Vracatoum !! Qu’est-ce ? Que fut-ce ? C'est oique ? Un pic, un cap ? Non, pic et pic et collé gramme. Coléoptère... Collé aux ptères… Collé à terre… Cocon collé, aptère… C’est là qu’est l’os, hélas...(I)  Quand vole-t-on ? Faucon vole ! Faut qu’on vole… Faut qu’çà l’fasse, laisse l’effet s’faire…(2) Et lancé, élancé, a quitté, acquitté ce précipice… Ouf ! Ça y est. Trace la piste, c’est l’esquisse de l’exquis succès… Ca accroche, double ou triple croche, sensass !… Jeu, set et match.

Or cruel cataclysme, cris, crise, c’est la chute, le choc du clash. Case à choc… Casatchok… Ou qu’il est ? Eclipsé ? Dans la steppe. Pas siphonné, pas si toqué, ce cyber-crack des Carpates a circonscrit une yourte(3) au goût bulgare. Passé le sas, y s’en passe ! Passons sapé (c’est ça qu’est con), sachons sasser. Ca se sait, en somme ça s’est su, ça s’est sûr, in situ, au camp, au qu’en dira-t-on, au canton… sous la pluie, sous la toile et dans les clans, sous le voile état latent, sans cangues(4)  et sans carcans, quel cancan !

Pas K.O ? C’est O.K.

Concassages concaves sans concessions, caquetages caciques, cesses cette coquecigrue, sacré non, pov’cave con…sacré !

(1) ‘C’est là qu’est l’os, hélas’ Expression de Roger Pierre et Jean-Marc Thibault dans : « La guerre de sécession »           

(2) ‘laisse l’effet s’faire’ Expression du paternel   (3)  Yourte : tente mongole    (4)  Cangue : contrainte, astreinte, attache    

 Pascal Coquet, aventurier du quotidien 26 11 07

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